Text fr. Includes bibliographical references. - "Cette exposition, conçue et réalisée par l'Institut du monde arabe, est présentée du 21 février au 1er avril 2007."

Text fr. Bibliographie p. 121-124.

Text engl. - A PDF version is downloadable from http://digital.library.ryerson.ca/islandora/object/RULA:1864. Incl. a list of Zangaki’s numbered prints.

Text engl. - „The Middle East played a critical role in the development of photography as a new technology and an art form. Likewise, photography was instrumental in cultivating and maintaining Europe’s distinctively Orientalist vision of the Middle East. As new advances enhanced the versatility of the medium, nineteenth-century photographers were able to mass-produce images to incite and satisfy the demands of the region’s burgeoning tourist industry and the appetites of armchair travelers in Europe. In this way, the evolution of modern photography fueled an interest in visual contact with the rest of the world. - Photography’s Orientalism offers the first in-depth cultural study of the works of European and non- European photographers active in the Middle East and India, focusing on the relationship between photographic, literary, and historical representations of this region and beyond. The essays explore the relationship between art and politics by considering the connection between the European presence there and aesthetic representations produced by traveling and resident photographers, thereby contributing to how the history of photography is understood.“ (www.amazon.com/Photographys-Orientalism-Colonial-Representation-Debates/dp/1606061518; seen 07.03.2018).

Text engl. - The birth of photography coincided with the expansion of European imperialism in the Middle East, and some of the medium's earliest images are Orientalist pictures taken by Europeans in such places as Cairo and Jerusalem - photographs that have long shaped and distorted the Western visual imagination of the region. But the Middle East had many of its own photographers, collectors, and patrons. In this book, Stephen Sheehi presents a groundbreaking new account of early photography in the Arab world. - The Arab Imago concentrates primarily on studio portraits by Arab and Armenian photographers in the late Ottoman Empire. Examining previously known studios such as Abdullah Frères, Pascal Sébah, Garabed Krikorian, and Khalil Raad, the book also provides the first account of other pioneers such as Georges and Louis Saboungi, the Kova Brothers, Muhammad Sadiq Bey, and Ibrahim Rif'at Pasha - as well as the first detailed look at early photographs of the annual pilgrimage to Mecca. In addition, the book explores indigenous photography manuals and albums, newspapers, scientific journals, and fiction. - Featuring extensive previously unpublished images, The Arab Imago shows how native photography played an essential role in the creation of modern Arab societies in Egypt, Palestine, Syria, and Lebanon before the First World War. At the same time, the book overturns Eurocentric and Orientalist understandings of indigenous photography and challenges previous histories of the medium.“ (www.amazon.com/Arab-Imago-Portrait-Photography-1860-1910/dp/0691151326/ref=pd_sim_14_2?_encoding=UTF8&pd_rd_i=0691151326&pd_rd_r=KXAHAG13FP975WM472B8&pd_rd_w=0Ujd4&pd_rd_wg=LvCgS&psc=1&refRID=KXAHAG13FP975WM472B8; seen 07.03.2018).

Text engl. - „In the decades after its invention in 1839, photography was inextricably linked to the Middle East. Introduced as a crucial tool for Egyptologists and Orientalists who needed to document their archaeological findings, the photograph was easier and faster to produce in intense Middle Eastern light—making the region one of the original sites for the practice of photography. A pioneering study of this intertwined history, Camera Orientalis traces the Middle East’s influences on photography’s evolution, as well as photography’s effect on Europe’s view of “the Orient.” - Considering a range of Western and Middle Eastern archival material from the late nineteenth and early twentieth centuries, Ali Behdad offers a rich account of how photography transformed Europe’s distinctly Orientalist vision into what seemed objective fact, a transformation that proved central to the project of European colonialism. At the same time, Orientalism was useful for photographers from both regions, as it gave them a set of conventions by which to frame exotic Middle Eastern cultures for Western audiences. Behdad also shows how Middle Eastern audiences embraced photography as a way to foreground status and patriarchal values while also exoticizing other social classes. - An important examination of previously overlooked European and Middle Eastern photographers and studios, Camera Orientalis demonstrates that, far from being a one-sided European development, Orientalist photography was the product of rich cultural contact between the East and the West.“ (www.amazon.com/Camera-Orientalis-Reflections-Photography-Middle/dp/022635640X/ref=pd_sim_14_1?_encoding=UTF8&pd_rd_i=022635640X&pd_rd_r=RYCMD287VJMKVN6DVRJG&pd_rd_w=Ewjm3&pd_rd_wg=By11g&psc=1&refRID=RYCMD287VJMKVN6DVRJG; seen 07.03.2018).

Text fr. - „En débarquant en Égypte au cours de l'année 1798, Bonaparte ne se doutait pas qu'il allait raviver la fascination ancestrale de l'Europe pour cette province ottomane et pour tout l'imaginaire qu'elle véhicule. Indolence des fellahs, magie des pyramides, désir d'ailleurs... Les voyageurs européens du XIXe siècle, en quête d'exotisme, se pressèrent sur les rives du Nil. Chateaubriand, Gérard de Nerval, Gustave Flaubert, Maxime Du Camp, Arthur de Gobineau, Joseph Michaud, Théophile Gautier ou Pierre Loti font partie de ceux-là, comme tant d'archéologues, de photographes ou de simples curieux. - Photographies et littérature accompagnèrent dès lors ces fous d'Orient, rendant compte d'un pays fantasmé à la beauté surannée, d'une terre magique trop souvent réduite à l'Antique, et qui délibérément se tournait vers les attraits de la modernité. - Les récits de voyage et les photographies se multiplient alors, dévoilant chacun à leur tour, avec des émotions variées, une multitude de points de vue face à l'altérité. - Sûra, c'est la "photographie", l'instantané de cette rencontre entre l'Occident et l'Égypte du XIXe siècle avec tout ce qu'elle a pu contenir d'émerveillements et de maladresses, de craintes et de curiosité. C'est le reflet d'une époque avec ses photographes et ses écrivains, son regard et ses mots, qui dévoilent, au fil des pages, une Égypte authentique, à la fois puissante et fragile, mais toujours aussi mystérieuse.“ (www.eyrolles.com/Audiovisuel/Livre/sura-9782752907462; seen 07.03.2018).

Text fr. - Nebeneintrag - Online version: journals.openedition.org/inha/4888. (Instititut national d’histoire d’Art INHA. Les collections électroniques. Actes de colloque & livres en ligne. Mis en ligne en janvier 2017. La présente version numérique est revue et corrigée par rapport à la version publiée en 2013 aux éditions Picard.

Text fr. - Haupteintrag. Not all contributions to this anthology are listed in PhotoLit. - „Depuis la grande expédition d’Égypte qui marqua les esprits, seuls des voyageurs aussi célèbres que Maxime Du Camp et Gustave Flaubert sont restés dans les mémoires, alors que d’autres sont complètement oubliés ou connus des seuls spécialistes. - Pourtant, leurs travaux restent des sources irremplaçables sur une ville en grande partie disparue. En effet, tout au long du XIXe siècle, beaucoup de monuments périrent faute d’entretien et à partir des années 1870, le khédive Ismaïl entreprit des travaux d’embellissement pour donner à la capitale de l’Égypte un aspect européen, aux prix d’importantes démolitions. Tous ces voyageurs, architectes, peintres, « antiquaires » furent subjugués par l’architecture médiévale du Caire et par le décor géométrique de ses bâtiments civils et religieux. Ils tentèrent à travers leurs dessins, photographies et relevés de faire connaître ces richesses artistiques que certains prévoyaient de publier dans des recueils, dont quelques-uns virent le jour. - Ce livre a pour vocation de sortir de l’ombre ces passionnés qui offrent encore aujourd’hui des témoignages uniques assortis souvent de descriptions de dessins, de photographies ou d’écrits théoriques en règle générale peu accessibles. Un ensemble de spécialistes met ici en valeur ces documents tombés dans l’oubli et présente des synthèses de leurs œuvres et de leurs apports à la connaissance du Caire médiéval.“ (http://journals.openedition.org/inha/4853; seen 07.03.2018).

Text fr. - Nebeneintrag - Downloadable version: http://journals.openedition.org/inha/4880

Text fr. - Nebenientrag - Keywords: L’œuvre méconnu d’un voyageur érudit • Girault de Prangey et la pratique du daguerréotype • Histoire de la collection. - Downloadable version: http://journals.openedition.org/inha/4882

Text engl. - Nebeneintrag. - Downloadable version: http://journals.openedition.org/inha/4884

Text engl. - Nebeneintrag. - Keywords: Le Caire reproduit en noir et blanc • Le Caire projeté en couleurs. - Downloadable version: http://journals.openedition.org/inha/4886

Text fr. - Personnalité connue et honorée de son vivant, Jules Gervais-Courtellemont (1863-1931) est resté durant plus d'un demi-siècle un oublié de l'histoire. Il connaît, depuis peu, un regain d'intérêt comme praticien de l'autochrome. Cet artiste hors du commun fut photographe, certes, mais aussi : éditeur, voyageur, auteur, vulgarisateur, journaliste et, on l'ignore trop souvent, autour de 1890, l'un des premiers illustrateurs d'ouvrages par la photographie imprimée. L'auteur nous révèle d'abord les principales étapes de la vie mouvementée de cet infatigable voyageur, qui a mis la photographie au service de tous les aspects de sa débordante activité. Puis, il nous fait mesurer l'ampleur du travail de Gervais-Courtellemont clans chacun des domaines de cette oeuvre foisonnante. Il donne des notices détaillées de la quinzaine d'ouvrages sortis de ses presses à Alger, avant 1895. Il recense les ouvrages écrits par lui, dont les célèbres : Mon voyage à La Mecque de 1896, le Voyage au Yunnan de 1904, et aussi les autres ouvrages auxquels il a participé. Il décrit les recueils de reproductions de ses photographies, notamment de Paris et les ensembles de cartes postales stéréoscopiques : Voyages de Gervais-Courtellemont. Il présente également les ouvrages d'autres auteurs, qui ont sollicité ses clichés pour illustrer leurs ouvrages. Son importante activité de journaliste, durant trois décennies, la partie la moins connue de son oeuvre, et ses conférences données à Paris, en province et à l'étranger ne sont pas oubliées. Plus de cinquante articles de sa plume, la plupart illustrés de ses clichés, sont répertoriés, ainsi qu'un nombre équivalent d'articles d'autres auteurs illustrés eux aussi de ses photographies. L'auteur a estimé, à partir de l'étude de toutes ces publications, le nombre de photographies de Gervais-Courtellemont, reproduites de son vivant, à plus de 2500 pour celles en noir et blanc et à 1100 pour ses autochromes. Ces effectifs sont bien inférieurs à sa production totale qui doit comprendre environ 4000 clichés en noir et blanc et 6000 autochromes. Cette oeuvre immense, tant écrite que photographique, mérite d'être reconnue. Une exposition consacrée à la vie et à la totalité de l'oeuvre de Gervais-Courtellemont devrait être organisée, pour accroître sa renommée, aussi bien auprès des bibliophiles que des amateurs de photographies et surtout du grand public.“ (www.amazon.fr/Jules-Gervais-Courtellemont-1863-1931-loeuvre-photographe/dp/2952859434; seen 07.03.2018). - Présentation de l'éditeur: Personnalité connue et honorée de son vivant, Jules Gervais-Courtellemont (1863-1931) est resté durant plus d'un demi-siècle un oublié de l'histoire. Il connaît, depuis peu, un regain d'intérêt comme praticien de l'autochrome. Cet artiste hors du commun fut photographe, certes, mais aussi : éditeur, voyageur, auteur, vulgarisateur, journaliste et, on l'ignore trop souvent, autour de 1890, l'un des premiers illustrateurs d'ouvrages par la photographie imprimée. L'auteur nous révèle d'abord les principales étapes de la vie mouvementée de cet infatigable voyageur, qui a mis la photographie au service de tous les aspects de sa débordante activité. Puis, il nous fait mesurer l'ampleur du travail de Gervais-Courtellemont clans chacun des domaines de cette oeuvre foisonnante. Il donne des notices détaillées de la quinzaine d'ouvrages sortis de ses presses à Alger, avant 1895. Il recense les ouvrages écrits par lui, dont les célèbres : Mon voyage à La Mecque de 1896, le Voyage au Yunnan de 1904, et aussi les autres ouvrages auxquels il a participé. Il décrit les recueils de reproductions de ses photographies, notamment de Paris et les ensembles de cartes postales stéréoscopiques : Voyages de Gervais-Courtellemont. Il présente également les ouvrages d'autres auteurs, qui ont sollicité ses clichés pour illustrer leurs ouvrages. Son importante activité de journaliste, durant trois décennies, la partie la moins connue de son oeuvre, et ses conférences données à Paris, en province et à l'étranger ne sont pas oubliées. Plus de cinquante articles de sa plume, la plupart illustrés de ses clichés, sont répertoriés, ainsi qu'un nombre équivalent d'articles d'autres auteurs illustrés eux aussi de ses photographies. L'auteur a estimé, à partir de l'étude de toutes ces publications, le nombre de photographies de Gervais-Courtellemont, reproduites de son vivant, à plus de 2500 pour celles en noir et blanc et à 1100 pour ses autochromes. Ces effectifs sont bien inférieurs à sa production totale qui doit comprendre environ 4000 clichés en noir et blanc et 6000 autochromes. Cette oeuvre immense, tant écrite que photographique, mérite d'être reconnue. Une exposition consacrée à la vie et à la totalité de l'oeuvre de Gervais-Courtellemont devrait être organisée, pour accroître sa renommée, aussi bien auprès des bibliophiles que des amateurs de photographies et surtout du grand public.

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Text dt. - Die Deutsche Gesellschaft für Photographie (DGPh) vergab 2015 das DGPh-Stipendium zur Geschichte des deutschsprachigen Photobuchs an Mareike Stoll. Ihre Forschungen zum Photobuch der Weimarer Republik mündeten in der Monographie „ABC der Photographie.“ Ihr Buch widmet sich der zentralen Entstehungsphase des deutschsprachigen Photobuchs, und es skizziert erstmals eine Theorie des Photobuchs als einer Schule des Sehens. Stoll legt ihren Forschungen über das Entstehen des deutschsprachigen Photobuchs und seiner theoretischen, medienspezifischen, politischen und künstlerischen Kontexte ausgewählte Photobücher wie Aenne Biermanns 60 Bilder (1930) und Alfred Ehrhardts Das Watt (1937) zugrunde. Im Fokus ihrer Studie steht besonders die pädagogische Dimension des Photobuchs als „Wahrnehmungsfibel und Werkzeug der photographischen Alphabetisierung“ (Stoll). Damit versteht sie – hier den Zeitgenossen folgend – das Medium als Ausdruck einer utopischen und demokratischen Idee, nämlich der visueller Alphabetisierung. Für Stolls Vorgehensweise ist es kennzeichnend, dass sie nicht nur ausgewählte Sequenzen der Photobücher detailliert analysiert, sondern ihr Analysewerkzeug dabei überhaupt erst an den Büchern und Photographien entwickelt. Auf diese Weise macht sie die formale Rahmenbildung für die Photographien durch das Medium Buch und die damit verbundene Wahrnehmungsveränderung, aber auch das Berühren und Erblättern als Praktiken des Sehens und Begreifens und die eigene aktive Rolle des Betrachters und Lesers stark. (DGPh).

Text lith., engl. - Printed by “Kopa”. - The book Vanishing by Vytautas Pletkus (1955) contains photographic series on the slow process of destruction. The photographer records these signs now, at the beginning of the 21st century, after Lithuania has joined the European Union. Houses, fences, sculptures, objects and places have become useless, and are slowly sinking into oblivion, making their own parallel reality in lost time. The captured places are untouched by a form of photography that shows no hallmarks of beauty. The symbols of this landscape could be the empty windows of abandoned houses, or the walls of closed factories.